Engagez-vous avec Terre des Hommes France et ses partenaires pour interpeller les candidats aux élections présidentielles afin qu’ils se positionnent sur des mesures fortes et ambitieuses en faveur du climat et du droit à un environnement sain et sûr !
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Qu’il s’agisse des phénomènes météorologiques extrêmes (grosses tempêtes, inondations, sécheresses...) ou des changements climatiques à évolution lente (montée des eaux...), les dégâts environnementaux aggravent les inégalités et menacent le droit à la vie, à la santé, à la sécurité, à l’eau, au développement, au logement, à l’éducation, au travail, à la culture, ainsi que les droits des peuples autochtones.
La pandémie a eu pour effet d’ouvrir les yeux du monde sur les risques épidémiques. Le dérèglement climatique, lui, est plus sournois… Il prépare lentement le terrain, frappe d’abord la flore, la faune puis les plus pauvres, et particulièrement les enfants et les jeunes !
Les forêts brûlent, les eaux montent, les villes étouffent, la biodiversité disparaît peu à peu, les températures augmentent…
Les changements climatiques sont la conséquence des activités humaines polluantes et énergivores qui ont un impact dévastateur sur les écosystèmes et l’humanité tout entière, et des conséquences néfastes pour les enfants et les jeunes de bien des façons.
Les enfants sont le groupe le plus vulnérable face au dérèglement climatique. Et ce sont eux qui devront en assumer les conséquences : ils doivent être activement impliqués dans les processus de prise de décision, ainsi que dans les mesures d’adaptation et de protection du climat.
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, 1.7 million d’enfants de moins de cinq ans, meurent chaque année en raison de la pollution de l’air et de l’eau et d’autres dommages à l’environnement. Selon l’IRCE (Indice des risques climatiques pour les enfants), environ 1 milliard d’enfants à travers le monde vivent dans des pays à très haut risque dû aux effets du climat. Et avec un réchauffement global de +2°C, 130 millions de personnes pourraient tomber dans la pauvreté extrême d'ici à 2030, selon le dernier rapport du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat).
Si le Conseil des droits de l’Homme des Nations Unies a appelé les États à prendre les mesures nécessaires pour garantir les droits des enfants face aux dommages environnementaux, la société civile a un grand rôle à jouer pour y parvenir et permettre l’adoption de normes universelles contraignantes pour les droits environnementaux des enfants et des jeunes.
Selon un sondage IPSOS, la défense de l’environnement est devenue un enjeu majeur pour 9 français sur 10. Et vous ?
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